Lundi le 13 janvier 2025, lors du procès contre Gilbert Rozon, Karine Baril, experte en violence sexuelle, s’est adressée à la cour. Elle a expliqué les réactions possibles des personnes victimes d’agression sexuelle, dont le fait de figer et de dissocier.
Elle a abordé également les conséquences possibles chez les victimes, dont le sentiment de culpabilité, la perception négative d’elles-mêmes, l’état d’hypervigilance, les comportements autodestructeurs et le trouble de stress post-traumatique (TSPT).
Elle a mentionné : « C’est un évènement traumatique qui est perçu comme une menace à l’intégrité physique et psychologique d’une personne » (…) La majorité des victimes d’agression sexuelle disent « craindre pour leur vie » dans une proportion de 70 %. »
La Presse a publié un article sur le sujet, voici le lien pour lire l’intégralité du texte.
